Pascal affectionne tout particulièrement la confection des altos parce que
leurs sons ouvrent des perspectives d’une couleur insoupçonnés et parfois sombre.
Quand je crée un alto. L’important c’est de connaître l’altiste. En effet, sa sonorité reste d’une grande ouverture comprenant une variété de son très riche en timbre, en harmonique ..! Pour l’altiste s’est toujours très personnel et unique. Il affirme son choix sans pudeur au plus haut de son art, averti d’expérience, d’années de recherche et de persévérance. Le défi étant de restituer la qualité des instruments d’antans, connus pour leur sonorité peu connue et leur beauté sublime.
Comme les altos de Gasparo dà Salo luthier Italien du 16ème siècles, toujours joué de nos jours, s’est une aventure, traversée de la haute tradition historique depuis cinq siècles. Je m’en inspire. C’est remarquable et motivant !
Comme cette Alto 41,5 que j’ai réalisé d’après modèle original d’Antonio Stradivarius à la sonorité exceptionnelle, le Malher de l’an 1672 de Crémone.
