Alto

Le moment que Pascal apprécie le plus, c’est la rencontre avec le musicien. « L’instrument doit s’adapter. Chaque musicien a son « son » comme chacun à sa propre écriture »  Alors il s’investit au maximum, effectue des recherches, réalise encore et encore des instruments pour trouver le parfait équilibre entre un son optimal et une esthétique parfaite. Comme il porte un grand intérêt à l’alto. Leurs sons ouvrent des perspectives d’une sonorité rare et exceptionnelle. Cette sonorité grave si naturel à l’alto, procure une émouvante émotion, de réconfort et de sagesse.
Pascal prends donc un soin tout particulier, important et personnel pour les artistes en herbe, comme pour les altistes professionnels. « L’alto est trop peu connu à mon goût. Mozart ou Beethoven ne jouait pas la partie de premier violon ; ils jouaient L’ALTO ! l’alto est le coeur de l’orchestre ».

Sa création remonte au 16e siècle sous le nom de Viola da braccio (Viole à bras).
L’ alto se distingua des violes, alors en usage, par ces quatre cordes, son accord en quintes et la suppression des frettes sur la touche.
À partir du milieu du 17e siècle, il remplaça son homologue de la famille des gambes, il reçut son nom pour être distingué du ténor de viole qu’on tenait entre les genoux.